La fin d’une vigie des malformations congénitales

La responsabilité et donc la charge de la surveillance des malformations incombent à L’État. Lequel délègue cette obligation de santé publique à Santé Publique France (SpF) qui missionne Remera pour l’assurer, sans pour autant en assumer la charge financière. SpF invoque, sans doute à raison, son « budget contraint » pour ne pas prendre en charge la mission qu’elle délègue.

En toute logique, s’il s’agissait de la construction d’un bâtiment public, l’histoire s’arrêterait là : tout travail méritant salaire, le registre asphyxié et vide de ses occupants fermerait ses portes.

Comme nul ne songe qu’une telle logique pourrait relever d’un funeste dessein, la seule question qui se pose est la suivante : souhaitons nous disposer des travaux du registre Remera qui recense, mesure, analyse, alerte en cas de risque malformatif ?

Si oui, L’État français doit trouver 200 000 euros..

Article complet Le Monde « La fin d’une vigie des malformations congénitales »

 

Renforcement des conditions de prescription et de délivrance des spécialités à base de valproate et dérivés (ANSM)

« Le valproate est interdit pendant la grossesse et ne doit plus être prescrit aux femmes, adolescentes ou en âge de procréer (sauf en cas d’inefficacité ou d’intolérance aux alternatives médicamenteuses.) » la Haute autorité de santé (HAS) travaille en collaboration avec l’ANSM et l’APESAC  pour actualiser les recommandations thérapeutiques sur les alternatives au valproate chez les filles, adolescentes, femmes en âge de procréer et femmes enceintes.

Article complet : Le valproate interdit pendant la grossesse et aux femmes en âge de procréer (Mypharma editions)

Référence : Valproate et dérivés (ANSM)